« Les îles les plus à l’est leur offrent quelques heures de répit dans leur longue marche.
Chaque île est un point de fuite pour qui, chez lui, n’a plus de perspectives.
Installés dans la torpeur de l’été, que ferons-nous pour eux ? »
Septembre 2015. Allain Glykos et son épouse passent quinze jours dans l’île de Chio, à huit kilomètres de la côte turque.