« Ayez confiance dans l’expérience d’un écrivain : les plus beaux textes sont ceux que l’on n’aura jamais écrits ; c’est valable aussi pour une lettre. »
Les lettres que Karel Capek adresse à Vera – une jeune étudiante dont il s’est épris – sont cependant d’une grande beauté et mêlent mélancolie, humour fin et érotisme subtil.
Ces textes pudiques, où l’amour crie en silence, sont également un témoignage passionnant sur la destinée d’un écrivain qui exprime là ses préoccupations littéraires, mais aussi son désarroi face à la montée du nazisme.