« Une fiction sociale aussi dure que du béton. Le second roman de Don Carpenter confirme la puissance qu’on avait détectée dans son premier roman, Sale temps pour les braves »
– The New York Times
« Du premier dénouement, advenu dans le passé et conté au milieu du livre, il ne faut souffler mot. Mais on peut noter qu’il rappelle les pièces de Tennessee Williams, Un Tramway nommé Désir et Soudain l’été dernier (1947 et 1958). Même pulsions sexuelles. Même moiteur. Pareil malaise. Gâchis identique. C’est la révélation d’un trou noir, d’un vertige. Féroce et tendre, Clair-Obscur, de l’américain Don Carpenter, nouvelle preuve de son talent. »
– Masha Séry, Le Monde des Livres
« Si les fans de l’américain Don Carpenter, qui s’est suicidé en 1995, retrouveront le style désespéré et décontracté de l’inoubliable Un Dernier Verre au bar sans nom, Clair-Obscur, son second roman frappe par sa brutalité nue. »
– Didier Jacob, L’Obs
« Plus le lecteur progresse dans le roman plus la tension augmente et si le drame est inévitable, il se déroulera de manière totalement inattendue. Avec son écriture sèche et vivante, sans fioritures, Don Carpenter signe avec Clair-Obscur un roman magistral où il s’est une nouvelle fois attaché à nous montrer toute l’humanité de ces laissés-pour-compte que ceux qui ont réussi qualifient de paumés et de débiles. »
– Éric Bonnargent, Le Matricule des Anges
« Ce nouveau roman traduit en français confirme le génie déglingué de Don Carpenter, mort en 1995, chantre d’une Amérique marginale, face noire et autodestructrice du crépuscule de la Beat Generation. »
– Emily Barnett, Vanity Fair
« Quel chef-d’œuvre ! Dans l’histoire de la littérature, il y a une place pour Clair-obscur entre Vol au-dessus d’un nid de coucou et Des souris et des hommes. Ce court roman est percutant comme une boule de billard lancée à toute allure sur le front du lecteur. C’est douloureux mais on voit des étoiles. »
– Gorian Delpature, « Livrés à domicile », émission littéraire de la RTBF
« Un cocktail littéraire redoutable qui ne se laisse pas enfermer dans un genre, à la fois suave et moite comme une pièce de Tennessee Williams et corsé et désenchanté comme une nouvelle de John Fante. Rien que ça. »
– Laurent Raphaël, Focus Vif
« Carpenter aurait beau nous raconter ce que bon lui semble, il sonne tellement juste qu’il touche le lecteur durablement et en plein cœur. Merci aux éditions Cambourakis, bravo à Céline Leroy pour sa traduction, continuez comme ça ! »
– Adrien, Librairie Point Virgule (Namur), pour Initiales
« Une fois de plus, les éditions Cambourakis nous permettent de découvrir l’œuvre hélas encore trop méconnue de ce magnifique géant de la littérature américaine qu’est Don Carpenter. […] La mélancolie, le sentiment puissant que tout peut (et va) vaciller, que les choses sont parfois mal engagées et qu’il n’y a pas forcément l’espoir d’une fin meilleure, les personnages, même les moins aimables, qui, sans sensiblerie, nous touchent en plein cœur, tout cela fait de Clair-obscur un texte essentiel et nécessaire. […] C’est enfin le style, précis et épuré, qui vient renforcer notre émotion et nous laisse ébahis face à tant de talent. Un grand livre, donc. Fulgurant. »
– Bénédicte, Librairie Le Failler
« C’est un livre très fort, un peu comme si Carver avait réussi à faire le roman qu’il n’a jamais eu le temps d’écrire. »
– Philippe, Librairie Sauramps
« C’est de la douce noirceur… précis, intransigeant sur ce qui meut chacun, chacune, rien n’est laissé de côté pour améliorer la dramaturgie, tout semble si humain, si dur, si vrai. Il est beau ce Semple. »
– Cécile, Librairie Les Bien-Aimés