Keum Suk Gendry-Kim
Née en Corée du Sud, Keum Suk Gendry-Kim a fait des études d’art à Séoul, puis à Strasbourg. Depuis 2010, elle explore ses racines coréennes à travers une œuvre de bande dessinée tantôt autobiographique (Le Chant de mon père, Sarbacane, 2012), tantôt fictionnelle (Jiseul, Sarbacane, 2015 et Les Mauvaises Herbes, Delcourt, 2018), mais qui s’empare toujours de faits historiques, souvent traumatiques.