Publié en 1836, ce livre a connu un succès fulgurant dans toute l’Europe.
La bizarrerie et l’originalité de son argument – un comte, emprisonné pour avoir conspiré contre Bonaparte, s’éprend de la seule créature vivante présente dans sa cellule, une plante qu’il nomme Picciola, et renoue avec l’espoir et la vie à travers cette passion – donnent paradoxalement à ce roman, qui n’a rien perdu de son pouvoir de fascination, une portée universelle et lumineuse.