« Elle avait vingt ans, elle était étudiante en linguistique ou quelque chose dans le genre.
À l’époque, c’était Freeman qui occupait la chaire de linguistique et, dans son milieu, il était déjà assez connu […]
Bref, elle était son étudiante. Une belle fille robuste et sportive, au regard noir et brûlant, passionnément amoureuse de la vie. »
D’où vient la fascination de Pètros pour cette femme rencontrée il y a des années, dont le souvenir le poursuit au point qu’il mette un point d’honneur à retracer le fil de son existence ?
À travers elle, c’est incontestablement le portrait d’une époque qu’il dessine, révélant dans le même temps ses propres doutes et ses regrets, à grand renfort de soleil et de gorgées d’ouzo…