Visiblement las de la vie sociale et citadine, le narrateur s’est retiré dans une maison en fer-blanc, au milieu d’une vaste plaine nue balayée par le vent et le sable.
N’ayant désormais d’autre préoccupation que de savoir s’il faut, ou non, installer un brise-vent, il cultive sa solitude avec acharnement et satisfaction. Ce n’est apparemment pas ainsi que l’entend Mary Petrie, une femme furtivement croisée par le passé : arrivée un beau matin, elle semble bien déterminée à s’installer chez lui et à bouleverser son quotidien. Il n’est pas certain que cet ermite endurci aura d’autre choix que celui de changer ses habitudes.
Commence alors une nouvelle quête de bonheur, surprenante et caustique, au cours de laquelle il devra éventuellement apprendre à composer avec les autres…
« Un humour dément et pince-sans-rire. »