« Sale temps pour les braves, c’est la littérature populaire à son meilleur. Le chef-d’œuvre méconnu de Carpenter n’est pas seulement un bon roman, c’est peut-être l’un des romans américains les plus importants des années 1960. »
– George Pelecanos
« Sale temps pour les braves est un livre unique ; violent, tendre, inexorable et mélancoliques, un roman de la période Beat retraçant l’histoire de Garçons sauvages sans l’euphorie de Sur la route, mais d’un fatalisme qui le rend d’autant plus déchirant et palpitant. Les vies ordinaires qu’il raconte sont inoubliables. »
– Richard Price
« Sale temps pour les braves est un « autre » Last Exil to Brooklyn. »
– The New York Times
« Un pur roman américain, sans sensiblerie mais débordant pourtant d’âme et de cœur… Sale temps pour les braves est une rareté, un roman d’idées captivant et follement séduisant, à l’atmosphère éblouissante. Un héritage digne d’être préservé. »
– The Washington Post
« Souvent sauvage, jamais cynique, Carpenter jette de l’or dans la poussière. »
– The Independant
« Cet américain est le chaînon manquant entre Jon Fante et Richard Price. Une révélation. »
– Raphaëlle Leyris, Le Monde
« Le chef-d’œuvre Don Carpenter est enfin traduit en français. Derrière ce titre aux faux airs de polar, se cache effectivement une pépite. »
– Nathalie Crom, Télérama
« En lisant ce roman intense, brutal, on pense aussi à Eddie Bunker, à sa jeunesse brisée, lui qui connut, comme Jack, l’enfer de San Quentin et réussit, comme lui, à en sortir meilleur. »
– Bruno Corty, Le Figaro
« Une grand texte noir injustement oublié, un splendide roman de chair et de sang. »
– Etienne Ducroc, Technikart
« Sale temps pour les braves est l’un de ces immenses romans dont les américains ont le secret, à la fois ambitieux et accessible, riche de sens et populaire au meilleur sens du terme. »
– Cannibales lecteurs
« Sale temps pour les braves est de ces livres, noirs et paradoxalement lumineux, majeurs, indispensables. »
– Christine Marcandier, Mediapart
« Fidèle à son titre original – Hard Rain Falling –, l’estomaquant premier roman de Don Carpenter écume une Amérique sans soleil et soumet son héros à un déluge de coups durs. […] Le gros lot sur le plan romanesque. »
– Bruno Juffin, Les Inrocks
« On dit que Don Carpenter était un écrivain pour écrivains, adulé par les critiques et les romanciers pour son incroyable talent, la précision de son écriture ; mais autant que je sache, il suffit à n’importe quel lecteur d’ouvrir l’un de ses étonnants romans pour être acquis à sa cause. Cet homme pouvait être hilarant ou vous briser le cœur, et il savait écrire sur l’amour propre et les faiblesses humaines mieux que personne. »
– Anne Lamott