« […] Vivant: comment ne pas l’être davantage en refermant ce roman aussi revigorant qu’une chanson de James Brown? »
– Frédéric Potet, Le Monde des livres
« Ce qui fait justement tout le sel de ce roman, c’est son côté échevelé, sa profusion de trouvailles, d’images et de formules aussi efficaces qu’un solo de Miles Davis. Paul Beatty écrit en roue libre, se lance dans des digressions loufoques qui sonnent comme des improvisations de jazz. Certaines donnent lieu à des lignes magnifiques, notamment sur les sons, et d’autres des pages hilarantes, notamment la description des allemands de l’Est que je vous conseille vivement. »
– Elisabeth Philippe, France Musique
« Il est de ces romans qui se bonifient avec l’âge et se révèlent plus passionnants après quelques années, notamment pour comprendre cette scène berlinoise des eighties, sa musique alors obscure, désormais culte. »
– Yann Perreau, Les Inrocks
« Disons-le tout de suite : Slumberland est un excellent roman. Paul Beatty analyse l’identité noire, sans jamais être abstrait, à travers la musique, les mécanismes sociaux et surtout le racisme, le tout faisant de Slumberland un livre aussi sérieux que drôle et inventif. […] Les qualités principales de ce roman résident dans l’inventivité du scénario mettant les personnages dans des situations parfois loufoques et surtout dans la langue, Beatty, tel un DJ, jouant sans cesse avec ses registres, ses sonorités, ses rythmes. »
– Eric Bonnargent, L’Anagnoste
« Slumberland est le pays onirique du Little Némo de Winsor McCay. C’est aussi le nom d’une boîte mythique et lieu interculturel à Berlin. C’est enfin le décor du dernier roman de l’américain Paul Beatty, loufoque, foisonnant, politique, éthique, musical et poétique. »
– Sélection du Réseau Librairies Ensemble
« Mettez le son à fond et lisez-le ! »
– Grégoire, Librairie Obliques (Auxerre)
« Absolument génial ! Il faut absolument que vous lisiez ce livre qui est excellent, vous ne serez pas déçus ! »
– M’Lire (Laval)
« À son meilleur, l’écriture de Beatty est scandaleusement originale et très drôle. »
– The Guardian
« On rit souvent à gorge déployée en lisant Slumberland, son esprit vif et satirique peuvent être être piquants […] Ce livre place Beatty quelque part entre Ishmael Reed, Dany Laferrière et William S. Burroughs. »
– L.A. Times
« À la manière d’un Gore Vidal quand il écrit sur le sexe et les constructions de genre, Beatty interroge les questions de race et la place des personnalités africaines-américaines importantes, sans jamais hésiter à mettre les pieds dans le plat à chaque page. Une avalanche de jeux de mots qui se rencontrent et fondent comme de l’acide sur la page. »
– The Washington Post
« Féroce, foisonnant, à hurler de rire, Slumberland est d’ores et déjà un classique de Paul Beatty à placer dans sa bibliothèque aux côtés des œuvres de Jonathan Lethem, Colson Whitehead et Junot Diaz. »
– Goodreads